
Newsjacking : ces marques qui jouent sur l'actu
Le newsjacking, cette manière de détourner un fait d’actualité pour faire sa communication, est de plus en plus utilisée par les marques. Visibrain sort son top 5 des meilleurs exemples de newsjacking !
Le newsjacking le plus rentable
En 2013, Oréo crée un cas d’école. La marque de biscuit rebondit dans un timing parfait sur la coupure d’électricité survenue pendant le Superbowl et voit son nombre d’abonnés monter en flèche suite à cette action.
Power out? No problem. pic.twitter.com/dnQ7pOgC
— Oreo Cookie (@Oreo) 4 février 2013
Le newsjacking le plus osé
La provocation (maîtrisée) reste un des meilleurs moyens de créer l’engagement sur les réseaux sociaux. La marque Durex a excellé en la matière en rebondissant sur la démission du pape Benoit XVI.
Superbe pub Durex. "Ne faites pas comme le pape, restez jusqu'à la fin. pic.twitter.com/T464UPX6
— JOD (@jo_delb) 15 février 2013
Le newsjacking le plus visuel
Plus récemment, Stabilo a su réagir avec brio à la présentation du logo très coloré de Paris pour la candidature des JO 2024.
Le newsjacking le plus engagé
Cette forme de communication peut également permettre de sensibiliser aux sujets les plus graves. Souvenez-vous de cette robe que certains voyaient bleue et noire quand d’autres la voyaient blanche et or. Surfant sur ce buzz sur les réseaux sociaux, l’Armée du Salut sudafricaine avait détourné l’information pour sensibiliser les internautes aux violences faites aux femmes.
Why is it so hard to see black and blue? One in 6 women are victims of abuse.#StopAbuseAgainstWomen pic.twitter.com/FgDdKdsMMb
— TheSalvationArmySA (@SalvationArmySA) 6 mars 2015
Le newsjacking le plus « A NE PAS FAIRE »
Mais certaines marques dépassent les limites et flirtent avec le mauvais goût, risquant de provoquer des bad buzz. Mister Assur avait ainsi rebondi sur le décès de Christophe de Margerie, le PDG de Total, lors d’un accident d’avion.