Le phénomène, qui a généré des milliers de témoignages de la part de femmes sur Twitter, fait l’objet d’une étude plus en profondeur au sujet du harcèlement sur le lieu de travail.
"Au-delà de la parole, c'est aux pouvoirs publics d'assurer une juste condamnation judiciaire et sociétale des violences sexistes/sexuelles" https://t.co/TbFMqADJIO
— MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) 16 octobre 2017
Axée sur les questions du harcèlement sexuel sur le lieu de travail, l’étude pose également le doigt sur la frontière - parfois ténue - séparant la séduction d’un acte répréhensible.
#BalanceTonPorc, affaire Weinstein, sexisme et agressions à Hollywood… En matière de dénonciation et d’effervescence populaire, 58% des femmes et 45% des hommes trouvent que la dénonciation de harceleurs « sous la forme de tribunes populaires » est bénéfique. Toutefois, 25% des femmes et 37% des hommes considèrent encore ces actions comme « problématiques » .
*Méthodologie : sondage effectué par e-mailing auprès de 4,5 millions de candidats actifs sur Qapa.fr en octobre 2017 / Réalisé sur 51% de femmes et 49% d'hommes / Tranches d'âges : 2% de 18-24 ans, 20% de 25-34 ans, 44% de 35-44 ans, 32% de 45-54 ans et 2% de plus de 55 ans.
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