
Derrière le cliché des écolos qui sacrifieraient leur envie d’enfant pour sauver la planète, se cache une autre réalité plus intéressante : celle de personnes dont le non-désir d’enfant remet en question le socle de notre société.
Bettina Zourli n’avait jamais trop pensé à son non-désir d’enfant jusqu’à ce qu’elle entre dans la trentaine et qu’elle commence à recevoir des commentaires infantilisants et culpabilisants. Elle lance alors le compte Instagram @Jeneveuxpasd’enfant et publie plusieurs essais, dont Le Temps du choix (Payot, 2024), pour dresser un portrait juste des « childfree », ces personnes qui ne veulent pas d’enfant, et lutter contre l’injonction à la...
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Tous les points de vue méritent d’être détaillée. Néanmoins, celui-ci est incompatible avec la retraite par répartition.
deux Solutions: Supprimer la retraite par répartition au profit d’une retraite par capitalisation, ou en même temps que le choix de ne pas avoir d’enfants, soit fait celui de Renoncer à la retraite par répartition.
Intéressant! Le paradoxe d'être le fruit de cette "normalité" et de la renier. A la lecture de votre article il n'est peut être pas une question d'égoïsme mais plutôt d'individualisme.
Merci pour cet interview claire et posée qui permet de mettre des mots justes sur ce sujet.
L'égoïsme réside plutôt chez les personnes qui veulent procréer et surtout se voir en miniature à tout prix, et qui ne se demandent absolument jamais si les conditions au bonheur sont vraiment réunies pour l'avenir de leur progéniture. Au fond, peu leur importe, c'est leur seul désire qu'elles accomplissent. Céder à ses instincts n'est pas un signe d'intelligence ou d'altruisme ,c'est même généralement tout le contraire. Quand l'envie de partager et d'aimer sont bien les seules motivations, l'adoption est bien plus belle humainement parlant et n'est pas considérée comme un second choix.