Millenials

À quoi ressemblera la convivialité de demain ?

© Zach Rowlandson

Dans un exercice de prospective inédit, Pernod Ricard déchiffre les futurs possibles au regard de l’évolution du climat. De l'apocalypse à l'éco-harmonie, découvrez les quatre parcours imaginés sur les futurs possibles de la convivialité dans un monde bouleversé.

Qu’est-ce qui donne du sens aux moments de convivialité ? En tant que créateur de convivialité, Pernod Ricard déchiffre grâce à son département Cultural Foresight les différentes pistes d’évolution de nos manières de vivre, de consommer et de nous retrouver. Avec en ligne de mire l’année 2050, quatre scénarios ont été conçus sur la base des dernières projections du Giec. Du plus sombre au plus utopiste, tous ont le même objectif : offrir davantage de visibilité face à un avenir incertain.

Ce panorama confirme que c’est par la mobilisation collective qu’il sera possible pour chacun de passer du statut de simple spectateurs à celui d’acteurs du changement. Une transformation décisive pour garantir un avenir meilleur à l’humanité et à la planète.

Apocalypse later

Le premier scénario : l’apocalypse express. Ce futur possible est sûrement le plus dramatique. Les gouvernements n’arrivent pas à s’entendre sur la gravité de la situation écologique et ne parviennent donc pas à contrer le réchauffement climatique. Le résultat ? Une augmentation des inégalités sociales liée à un ordre mondial sous tension et un effondrement de la santé humaine et environnementale.

Le deuxième scénario : l’éco-harmonie. Cet avenir fictif est le plus utopiste de tous. Ici, particuliers, entreprises et institutions s’engagent ensemble vers un monde plus vert. À l'inverse du scénario précédent, la coopération et la cohésion sont de mise pour tendre vers un monde où l’humanité est en symbiose avec la nature.

Le troisième scénario : le totalitarisme vert. Dans ce futur, la planète passe avant tout. Des politiques sont mises en place pour que chacun, surtout les grands acteurs, rendent compte de leurs éco-score et engagements. Toutefois, ces règles drastiques ne font qu’agrandir le fossé entre les riches et les pauvres.

Le quatrième et dernier scénario : plaisir d’abord, planète ensuite. Dans cette perspective, la procrastination est reine. Les problèmes environnementaux passent au second plan laissant le désir individuel prendre le dessus. Conséquence : les progrès environnementaux sont très lents, ce qui n’aide pas le rétablissement écologique. En parallèle, les plus riches décident du monde de demain et les évolutions technologiques suivent leur cours, servant plus au consumérisme qu’à l’écologie.

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