Vêtement, high-tech, livres... Le réflexe seconde main s'installe doucement dans les pratiques des Francais. Sur ce marché en croissance, Jules Sabah Megard, vient de lancer Mïron, nouvelle plateforme de parfums d’occasion certifiés par un nez.
On ne peut plus le sentir. Il nous donne mal à la tête. Je l’ai reçu en cadeau ou pire, il me rappelait un ex ! Les raisons pour lesquelles on se détourne d'un parfum sont nombreuses. Selon une étude, réalisée par Mïron (2000 personnes) 59 % des Français possèdent un parfum qu’ils ne portent pas. Pour que « Le parfum des uns, fasse le bonheur des autres. » Jules de Miron, 23 ans, lancer un site pour vendre ou acheter des flacons entamés.
Mïron, la seconde main s'est mise au parfum
Nombreux sont ceux qui rêvent d’un parfum de créateur sans pouvoir se l’offrir. C'est désormais possible avec Miron, un concept de revente unique en son genre car doté de nez capables d’authentifier n’importe quel jus. Et vertueux. Si Mïron démocratise la haute parfumerie en permettant au plus grand nombre d’y accéder, il lutte aussi contre le gaspillage en donnant une seconde vie à ses produits.
On ne badine pas avec le parfum
Des vendeurs, des acheteurs, une expérience intuitive et des réductions jusqu’à 80 %, Mïron fonctionne de la même façon que les autres plateformes de revente. Ce qui fait son exception : l’authentification. Chaque produit est passé au peigne fin.
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