
Parmi les nouveautés Netflix de mars 2019, deux séries nous font déjà les yeux doux : un Black Mirror à la Française baptisé « Osmosis » et « Love, Death + Robots », anthologie animée complètement barrée produite par David Fincher. Bon appétit !
« Osmosis », Tinder de l’horreur à découvrir dès le 29 mars
Le casting n’avait pas été dévoilé mais nous en parlions déjà en 2018. « Osmosis », la nouvelle production française originale de Netflix débarquera le 29 mars sur la plateforme. Vendue comme un « Black Mirror » frenchy par beaucoup de médias, la série nous parlera d’amour, d’algorithmes et de destinées désenchantées...
Pour rappel, voici comment Netflix teasait la série dans un communiqué :
« Paris, dans un avenir proche. La technologie a franchi une dernière frontière : le décodage du véritable amour. La nouvelle application amoureuse « OSMOSIS » puise dans les données cérébrales de son utilisateur pour lui trouver le match parfait avec une précision de 100%. Le concept de l'âme sœur devient une réalité absolue. Mais y a-t-il un prix à payer pour laisser un algorithme décider de qui vous tomberez amoureux, pour toujours et à jamais ? Quand, en échange de cet amour éternel et sans fin, la technologie peut accéder aux recoins les plus profonds de votre esprit - et aux secrets les mieux gardés de votre cœur... »
© « Osmosis » - Netflix
Adaptée d’une mini-série diffusée sur Arte en 2015, « Osmosis » n’a pas encore dévoilé de bande-annonce mais devrait être composée de 8 épisodes d’une cinquantaine de minutes. Côté acteurs, Agathe Bonitzer ( « Au bout du conte » ) donnera la réplique à Hugo Becker ( « Au service de la France », « Gossip Girl » …).
« Love, Death + Robots », anthologie WTF à découvrir dès le 15 mars
Très attendue par les fans de David Fincher (Seven, Fight Club, Gone Girl...) et Tim Miller (Deadpool), la série animée « Love, Death + Robots » promet d'être sacrément tordue...
Dans un communiqué, Netflix présente le synopsis suivant : « Un yaourt susceptible, des soldats lycanthropes, des robots déchaînés, des monstres-poubelles, des chasseurs de primes cyborgs, des araignées extraterrestres et des démons de l'enfer assoiffés de sang : tout ce beau monde est réuni dans 18 courts d'animation déconseillés aux âmes sensibles ».
Bref, il faut s'attendre à un vrai maelström alliant science-fiction, fantastique, horreur et comédie. À la clé, une expérience de visionnage inédite et apparemment « viscérale »...
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