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Pourquoi les organisations doivent s’emparer de l’IA et de l’automatisation au service de leur productivité

Avec Slack

En seulement deux petits mois, l’outil d’intelligence artificielle conversationnelle ChatGPT, développé par OpenAI, a réussi à atteindre les 100 millions d’utilisateurs. C’est plus rapide que les réseaux ou moteurs de recherche les plus populaires. Pour les entreprises, c’est aussi le signe, s’il en fallait un, que l’heure de l’automatisation du travail a sonné : 90 % des personnes interrogées dans le rapport State of Work 2023 de Slack utilisant l’IA au sein de leur organisation montrent des niveaux de productivité plus élevés.

Pourtant, l’adoption de ces outils d’automatisation est encore très loin d’être la norme au sein des organisations. Quels métiers peuvent d’ores et déjà s’en emparer ? Comment mettre en place des processus d’automatisation simples et efficaces ? Au-delà de l’IA, quelles méthodes peut-on adopter pour créer des processus automatiques ? Analyse.

Travailler mieux, plus vite et avec un esprit libéré 

Dans son rapport State of Work 2023, Slack fait la part belle aux usages de l’IA et de l’automatisation en entreprise et leurs retombées sur la productivité des salariés. Premier constat, édifiant : les travailleurs qui utilisent des méthodes d’automatisation « économisent en moyenne 3,6 heures » de travail par semaine. Un gain de temps permettant de s’émanciper des tâches répétitives et qui touche presque toutes les catégories de travailleurs. Les équipes d’ingéniérie (71 % d’utilisateurs réguliers) et de technologies de l’information (68 %) sont celles qui utilisent le plus des ces méthodes, mais les équipes de design (57 %), marketing (47 %), et commerce (36 %) sont celles dont le potentiel d’automatisation doit encore être réalisé. 

Les répondants de l’enquête State of Work de Slack soulignent d’ailleurs un paradoxe : alors que 77 % d’entre eux affirment que l'automatisation des tâches routinières améliorerait grandement leur productivité, seuls 45 % déclarent que leurs équipes ont créé des processus pour faciliter leur travail. Un manque à gagner criant dans l’efficacité opérationnelle des organisations, que soulignait également Capgemini dans son étude « The Automation Advantage » : l’automatisation des processus métiers permettrait de gagner jusqu’à 30 % d’efficacité. Quant aux personnes interrogées dans le rapport State of Work de Slack, elles soulignent trois grands bénéfices de l’automatisation : 62 % considèrent réussir à faire plus en moins de temps et avec moins de ressources, 44 % affirment que l’automatisation leur permet d’avoir un plus grand impact business et 36 % soulignent un meilleur équilibre vie professionnelle/vie personnelle. D’autres avantages peuvent aussi être soulignés : la réduction des coûts induits par des processus inefficaces, une plus grande force d’innovation portée par un gain de temps des travailleurs et, globalement, une meilleure compétitivité face à la concurrence. 

« Le moment est venu pour les entreprises de redéfinir le travail de manière à stimuler la productivité tout en aidant les gens à donner le meilleur d'eux-mêmes. Nous avons déjà eu un aperçu de l'incroyable productivité de l'IA générative au travail. La véritable puissance de cette technologie sera perçue lorsque les outils d'IA pourront également analyser et agir des connaissances accumulées en interne sur les clients, les projets ou les collaborateurs », souligne Lidiane Jones, CEO de Slack. 

Hybridation du travail et automatisation : un mariage heureux 

A l’heure du travail hybride, où l’on mélange dans une même semaine de jours au bureau et des jours de travail à distance, l’utilisation d’une plateforme de productivité comme Slack semble une nécessité pour les organisations. 

Slack permet en effet une collaboration à distance optimisée grâce à ses canaux de discussion et ses fonctionnalités de travail collaboratifs, à l’image de canevas : un outil qui vient compléter les canaux de discussion en offrant un espace de travail commun où les contenus (audios, vidéos, workflows, etc) sont mis automatiquement à jour. Cela permet aux collaborateurs d’accéder aux documents, les modifier et les améliorer au fil de l’évolution des projets. Mais Slack permet aussi de transformer les tâches routinières en flux de travail automatisés : après avoir identifié les processus que l’on souhaite rendre automatique, le générateur de flux de travail de Slack prend les choses en main et fait gagner du temps. 

Autrement dit, Slack ne permet plus seulement d’utiliser des outils externes sur la plateforme : elle permet à n’importe quel utilisateur d’automatiser ses propres workflows et ceux de son équipe. Par exemple, un workflow peut être créé pour l’onboarding d’un nouveau collaborateur : il recevra automatiquement sur Slack toutes les informations dont il a besoin pour bien s’intégrer. Des processus d’automatisation qui se marient on ne peut mieux avec le monde du travail hybride.

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