Une pâtisserie réservée aux éclairs, un bar à chantilly, un restaurant de mozza… Le mono-produit joue la star dans les vitrines et en cuisine. La rédaction et Logic Design vous expliquent pourquoi ça marche.
A l’aube de 2010, la TVA des restaurants chute à 5,5 % et les nouvelles tables poussent comme des champignons… jusqu’à saturer le marché. Pour se faire une place au soleil, les dernier·e·s arrivé·e·s décident alors de se démarquer de la concurrence en surfant sur notre goût du meilleur. Dans le courant de la tendance (médiatisée par My Little Paris) qui nous incite à élire « le meilleur éclair de Paris, le meilleur burger, la meilleure baguette… » , certains et certaines font le pari de l’hypersegmentation. Et ça marche.
Mais la monomania ne doit pas empêcher les enseignes de se renouveler. Pour éviter de lasser leurs client·e·s, elles conçoivent ainsi des collections éphémères, créent des événements ou font évoluer leurs recettes en fonction des produits de saison. Le monoproduit devient alors un concept non pas figé mais propice à la créativité, pour le plus grand bonheur des réseaux sociaux #foodporn.
Encore un.e victime de l’ecriture Inclusive
Qu'est-ce que c'est pénible cette écriture inclusive 🙁
Au contraire, merci à l'ADN et Logic Design de participer à la valorisation d'un système orthographique plus juste. Et si peu dérangeant lorsqu'il est utilisé comme ici à bon escient et juste dose
L’égalité ne se joue pas au niveau de l’orthographe, c’est ridicule !
Sauver l'égalité avant l'orthographe... Croire une seule seconde que l'écriture inclusive est une avancée pour l'égalité est selon moi très naïf. Mettre des femmes à des postes à responsabilités, proposer des solutions de garde d'enfants dans les entreprises, l'égalité des salaires à postes égaux... Ou encore le prise en charge du harcèlement sexuel dans le milieu de la publicité. Voilà des combats. Mettre des points partout ne change en rien le quotidien des femmes.