
Empreinte carbone, impact écologique, pollution plastique.... les consommateurs se sentent de plus en plus concernés par ces questions et veulent consommer sans polluer. Pour répondre aux attentes de leurs clients, les enseignes de la grande distribution misent sur les rayons de produits en vrac.
The packaging free revolution is happening. Today, @Lushltd opened the doors to the first Naked Shop - where you’ll find everything from shower gel to facial cleansers without a pot or bottle in sight. #LushNaked @LushItalia #plasticfreegoals pic.twitter.com/yJY9QuljBE
— Lush Life (@LushLifeEN) 1 juin 2018
Pour répondre aux attentes des consommateurs de plus en plus concernés par leur impact écologique, la grande distribution se met au vrac. Après les fruits et les légumes, ce sont maintenant des rayons entiers de graines, noix, pâtes et riz qui émergent dans les magasins.
Dans la distribution, les rayons vrac restent encore l’apanage des hypermarchés. 71% des ces derniers possèdent un rayon vrac contre seulement 38% des supermarchés. Un chiffre qui peut s’expliquer par une plus grande surface dont dispose les hyper. Le vrac est une tendance qui monte mais qui ne remplace pas encore d’autres rayons aux emballages traditionnels. Les supermarchés, de tailles plus modestes, doivent composer avec des contraintes physiques plus fortes. Dans les hyper, les rayons bio sont ceux qui proposent le plus de produits en vrac (56%). Dans les supermarchés, ce sont encore les rayons fruits et légumes qui concentrent la majorité des produits vendus en vrac. Un mode de vente traditionnel pour ces produits. Le chemin vers le zéro déchet est encore long !
[…] quoi ça sert de prendre mon vélo pour aller faire mes courses en vrac si les grosses entreprises, elles, continuent à polluer massivement ? Est-ce que fermer le robinet […]
Le vrac existait depuis longtemps, dans les épiceries de quartier les clients pouvaient venir chercher une livre de farine. Puis les hypermarchés sont arrivés et nous ont vendu des produits au mètre linéaire, cela réduisait le personnel donc tellement les coûts. Comment croire maintenant qu'ils puissent faire marche arrière et proposer beaucoup de vrac ? Comment pourront-ils pérenniser l'activité s'ils ne renforcent pas les moyens humains pour assurer l'hygiène et éviter la démarque ?
renarbleu@yahoo.fr
Jamais vu depuis des décennies une quelconque épicerie de quartier vendre de la farine au détail!
Dans les grandes surfaces les fruits et les légumes bio sont vendus sous pack alors qu'ils pourraient l'être en vrac comme les autres fruits et légumes non bio..On peut se demander pourquoi...
N'y a t-il pas des recherches pour trouver un matèriau moins agressif que le plastique?Qu doit-on aussi penser des sacs d'emballage plastique éléborés à partir de fécule de pomme de terre ou de maÏs?