Si le principal risque d’attraper des maladies est l’avancée en âge, alors pourquoi ne pas lutter contre l’âge ? C’est le pari de la géroscience, une nouvelle approche de santé publique.
« Waouh, tu ne fais vraiment pas ton âge ! » Et si ce poncif était plus intelligent qu'il n'y paraît ? Car c’est prouvé : on peut avoir le même âge que quelqu’un et être pourtant plus vieux que lui. « Il ne faut pas confondre le processus biologique avec notre âge chronologique, qui mesure le temps passé sur Terre », explicite Bruno Vellas, professeur à l’IHU HealthAge, l’institut créé par le CHU de Toulouse dédié au vieillissement. Cet « âge biologique », on va « bientôt pouvoir le mesurer, promet Bruno Vellas. Deuxième bonne nouvelle : « pendant longtemps, on a cru que c’était un facteur non modifiable. Alors qu’on sait maintenant qu’on peut agir sur l’âge. »
La vieillesse : la mère de toutes les maladies
Les mécanismes biologiques du vieillissement peuvent être modulés, c’est le postulat de départ de la géroscience. L’âge comme principal facteur de risque, notamment des maladies chroniques, son principal enjeu. Car si les mêmes mécanismes sont à l’origine du diabète, des cancers, des maladies cardiovasculaires ou neurodégénératives, alors mieux vaut enrayer ces mécanismes plutôt que de traiter chaque pathologie séparément.
Le concept de géroscience est récent : il a été posé par le docteur Felipe Sierra en 2016, alors directeur de la division sur le vieillissement au NIH à Washington et qui rejoindra l’IHU de Toulouse en 2020 pour deux ans. Nulle découverte scientifique majeure ne marque « l’acte de naissance » de la géroscience, mais plutôt la nécessité d’une approche interdisciplinaire nouvelle pour comprendre la relation entre le vieillissement et les pathologies liées à l’âge.
On leur a dit rendez-vous dans 10 ans...
Avec Bruno Vellas, Felipe Sierra coordonne le programme de recherche INSPIRE. Avec des cohortes de 1 500 souris, parmi les plus grandes au monde, de poissons Killies, mais surtout 1 080 personnes âgées de 20 à 100 ans, sur lesquelles on étudie le vieillissement clinique, une démarche inédite. Sur 10 ans, ces personnes vont réaliser tous les 6 mois un bilan de leurs capacités dans six fonctions principales : la vue, l’audition, la mémoire, la mobilité, la nutrition et le bien-être psychique. « Ensuite, on leur fait des prélèvements d’échantillons biologiques afin de constituer des biobanques et d’identifier les marqueurs biologiques du vieillissement », précise Sophie Guyonnet, qui coordonne actuellement INSPIRE.
En tant que centre collaborateur de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Gérontopôle mène en parallèle un autre projet à grande échelle : le programme ICOPE, testé sur 54 000 personnes dans la région Occitanie. Il s’agit d’une application qui récolte les données de la population cible et mesure leurs capacités dans les six fonctions principales. Dès qu’une fonction présente un signe d’altération, une infirmière va se déplacer chez la personne pour faire un bilan approfondi, qui pourra ensuite déboucher sur un parcours de soins décidé par un médecin. Une manière d’anticiper les altérations des fonctions avant qu’elles ne se transforment en pathologie chronique.
La sénescence, ou comment éviter que ça dégénère
Jean-Marc Brondello, chercheur à l’Inserm, dirige une équipe qui travaille sur la sénothérapie, un protocole qui permettrait de cibler les cellules sénescentes, responsables en partie du vieillissement. Il s’inscrit pleinement dans la démarche de la géroscience. « Les cellules sénescentes interviennent dans la réparation des tissus. Mais plus l’âge biologique augmente, moins elles sont éliminées par le système immunitaire. Elles s’accumulent et provoquent des lésions des tissus », explique-t-il. La sénothérapie pourrait alors, non pas prévenir les maladies, mais les traiter bien en amont des symptômes, en faisant des check-up à partir de 50 ans. « Le cancer, c’est une cellule sénescente qui prolifère. Cibler ces cellules, c’est la première étape pour traiter un cancer. »
Pour Bruno Vellas, « la géroscience comme nouvelle pratique de la médecine vers la prévention va devenir incontournable. Car le système actuel est en train de collapser. » À condition d’y mettre les moyens, nuance Jean-Marc Brondello : « Ce que fait Toulouse, c’est bien. Il faut encore une unité entre les cliniciens et la recherche fondamentale. La France est en retard par rapport aux États-Unis qui investissent beaucoup, car à la Silicon Valley ils ont trop peur de mourir. » Sophie Guyonnet, qui enseigne à la première promotion d’étudiants du parcours « Vieillissement en santé et géroscience » à l’université de Toulouse, se montre plus optimiste : « sur la géroscience en tant que telle, on est les premiers et on avance vite. Cela ne peut que grandir, vu l’impact certain qu’elle aura dans la santé publique. »
Bravo à tous ces chercheurs,
INTERESSANT mais visiblement cela reste théorique encore
A suivre avec interêt
BRAVO à tous ces brillants chercheurs . c'est le reve de la longévité en bonne santé.
Il faut être stupide pour penser qu'on peut stopper le temps. Nous pouvons tous observer comment nous nous transformons, comment le temps nous fait passer d'un âge à un autre, de l'enfance à l'adolescence puis à l'âge adulte. Et malgré nos efforts pour ne pas vieillir, le temps fait son œuvre : la presbytie arrive irrémédiablement entre 40 et 48 ans par exemple (elle commence même beaucoup plus tôt puisque la distance de vision nette augmente progressivement dès l'enfance) et aucune thérapie ne permet à ce jour de stopper le vieillissement du cristallin. C'est un exemple parmi tant d'autres ...
Tout est en constante évolution, rien n'est figé. Même les astres s'éloignent les uns des autres !
Rien n'est immuable et définitif, n'en déplaise aux enfants gâtés de la Silicon Valley. Il n'y a que la mort qui nous "délivre" du temps.
Anonyme
J'ai hâte de voir des résultats le plus marquant étant évidemment le visage!!!
Je déteste la vieillesse même si j'entends toujours de mon entourage "tu ne marque pas tes 74 ans"
A suivre!!!
Bravo si ça fonctionne ! Ce sera(it ?) tout bénéfice : pour le "patient", sa famille, ses employeurs, et la Sécu !
Reste à garder l'objectif de vivre en bonne santé (presque) jusqu'au bout, plutôt que de cibler celui de permettre à ces nouveaux vieux de s'incruster pour 150 ans -mais ça ne semble pas être le projet-,en ayant à les soigner et prolonger dès leurs... 100 ansz !
On peut en sourire, mais c'est une vraie question éthique.
C'est très encourageant ! Espérons que le gouvernement accordera suffisamment de crédits pour persévérer !
Bravo aux chercheurs !!
Commencez par interdire les pesticides et les radionucléides...
Bravo a vous tous les chercheurs .
Le mythe Prométhéen.
Trouver des marqueurs du vieillissement c'est bien, cela peut permettre de poser un âge biologique qui peut être différent de l'age temporel.
Mais quelles sont les piste pour lutter contre le vieillissement des cellules, c'est là le véritable enjeu de cette discipline me semble-t-il?
La France doit adopter 1 médecine de prévention, cela coutera
moins cher dans les années à venir ..
On nait toujours trop tôt...
82 ans 2 cancers d’on un œsophage +prostate pas de métastase mais surtout beaucoup de sport
je crois surtout à un peut de chance et bien suivit par le médecin car diabète cholestérol et surtension ,la total
article intéressant peut faire tirer le signal d alarme
Peut-être que nous pourrons soigner les maladies et anticiper la dégénérescence physique
à partir de nos cellules souches ?
il faudra alors réguler les naissances car nous sommes bcq trop nombreux sur terre
Amusant, mais totalement à côté de la plaque. Le raisonnement qui consiste à dire "Si c'est l'âge qui est la cause de nos maladies luttons contre l'âge" est totalement absurde. Un exemple ? Vous mangez disons 10g de sucre par jour (bel effort si vous ne dépassez pas cette quantité). En 10 ans vous aurez avalé 10g x 3650 (nombre de jours) = 36500 g de sucre, soit 36kg de sucre, là ça rigole moins déjà. Même calcul sur 50 ans : 10g (365x50)= 182 500 g de sucre (soit sans doute 3 x votre poids). Alors, expliquez-moi pourquoi votre pancréas et vos artères, les premiers concernés par cette marmelade, s'en sortiraient mieux parce ce qu'on a trouvé les moyens que certaines petites cellules non impliquées dans ce métabolisme dégénèreraient moins vite ? Pas grave, faisons pareil sur celles du pancréas ! et le foie ? et le foie (je vous épargne les calculs identiques sur l'alcool)! Et les poumons ? Et les poumons ! Et les reins ? Et les reins! Et les artères ? Et les artères, etc. etc.
Mais alors, dîtes-moi, vous nous préparez l'humain du futur qui va vivre 250 ans !! Ouaisss !!! 250 ans ? SUPER !
Et rappelez-moi, on est combien sur Terre ? 8 milliards, bientôt. Et on vit en moyenne (à l'échelle de la planète) ? 71 ans...
JE vous laisse imaginer le merdier avec X milliards de, disons, seulement, centenaires !
Mais ce n'est pas grave, on va vivre vieux, c'est bien, c'est super, ya que ça qui compte !
Comment peut-on débiter de telles bêtises sans réfléchir ne serait-ce qu'un peu aux conséquences induites ?
Moi je vous donne un autre message qui viens du fond des âges : "memento mori !" (rappelle toi que tu es mortel !) comme l'on disait aux empereurs romains !
Préparez plutôt votre mort avec philosophie avant de penser à la vie éternelle (sur Terre, ce qu'aucune religion n'a encore osé promettre, à part la religion benête de la Science, appelée scientisme dont vous donnez ici un bel exemple.)
Dernier point, si je ne vous ai pas convaincu de mourir bien quand le temps sera venu, imaginez qu'il y ait 10 000 000 personnes qui puissent bénéficier de ces traitements (en supposant que tout cela voie le jour un jour), et que vous faites partie de ces dix millions (le labos ne peuvent pas produire au-delà par ex), on vous traite, Youpi !!! C'est parti pour 250 ans !
Vous pourrez comme cela profiter de la mort de tous vos amis, de celle de vos proches, de votre familles, de vos enfants, de vos petits enfants et qui sait, même peut-être conduire à leur dernière demeure vos arrière petits enfants !!! C'est cela que vous voulez ? Non ? Alors allez-y, continuez de rêver, mais vous savez ce qu'il y a au bout de la promesse scientiste : un monde impossible et cruel.
Comme d'habitude, les chercheurs regardent du mauvais côté pour essayer de trouver une pilule qui pourrait faire des miracles, dont le seul intérêt est de continuer à remplir les caisses de l'industrie pharmaceutique. Il existe déjà des possibilités pour limiter l'action de l'avancée biologique de l'âge sur le corps humain, c'est de, manger sainement et en cohérence avec ses besoins avoir une hygiène sportive, juste ces deux choses vont améliorer le fonctionnement global du corps stimuler le système immunitaire qui fera correctement son travail. Il y a d'autres points d'hygiène à respecter. Cependant, cela commence par de la responsabilisation, de l'autonomie et enfin de travailler sur la peur de la mort qui est inéluctable. Mais, tout cela ne peut pas être coté en bourse.
En avez-vous la volonté, cher humain, ou préférez-vous encore faire confiance à des personnes qui créent de la destruction à chaque nouvelle fausse découverte ?
Ne pas chercher a manipuler mère nature....
« pendant longtemps, on a cru que c’était un facteur non modifiable. Alors qu’on sait maintenant qu’on peut agir sur l’âge. »
Merci de faire vite : j'ai 82 ans et je n'ai plus la forme !
Dans notre société capitaliste, tout doit être source de profit. Je crains que seuls les plus riches peuvent ou pourront profiter des résultats de toutes les recherches...
Intéressant article, mais très et trop superficiel. Un prochain article plus approfondi et développé??
Voilà un commentaire qui fait plaisir ! Je suis bien d'accord avec vous...
"On ne peut s'empêcher de vieillir, mais on peut s'empêcher de devenir vieux." Henri Matisse.
hahahah ... je note, je garde ...
Ca ne regle pas le problèmes des retraites
Bonjour, je voudrais m'adresser aux chercheurs et leur dire que. A 48 ans, très malade, sans force, épuisée, j'ai découvert la Bio Electronique de Louis-Claude VINCENT et que grâce à un BioElectronimètre mon médecin a pu évaluer un age biologique (selon les paramètres électriques (pH, Rô et RH2) de mes liquides corporels (sang, salive, urine) définis par l'ingénieur Louis-Claude VINCENT). Mon age biologique était de 85 ans !! Cela m'a permis de comprendre que mon sang était trop oxydé et manquait cruellement d'électrons. Grâce à des mises à la terre durant 3 mois (pieds nus sur l'herbe mouillé, bains de mer, de rivière et jus de légumes de carottes et de betteraves), mon potentiel RH2 sanguin est passé de 28 à 24 (j'avais multiplié les électrons dans mon sang par 10 puissance 4 (soit 10000)) j'avais retrouvé de l'énergie et mon age biologique était de 54 ans. Aujourd'hui j'ai retrouvé le même age biologique que celui de mon age réel mais qui sait peut-être qu'en extrapolant cette technique on peu avoir un age biologique plus faible que son age réél. L'important étant bien sûr de rester en forme.
Il y a tellement de malades dans les hopitaux que j'ai du mal à croire cela possible!
Je vous invite a consulter le travail de Bryan Johnson
Je vous rassure, si ça marche un jour (j'en doute) ce sera réservé à une poignée de très - très - riches. Comme les voyages dans l'espace, sur la lune et sur mars (Elon...on attend toujours).
Je vois beaucoup de commentaire négatif. Il y a pourtant ici une promesse qui devrait susciter la joie.
Ne serait-il pas un miracle de pouvoir avoir le temps de voyager et de découvrir le monde dans lequel nous avons la chance d'exister ? Pas besoin de prendre l'avion, vous aurez le temps de marcher, et la planète ne s'en sentira que mieux ! Quelle joie cela serait de lire tout les livres, d'apprendre le piano, la navigation, le nom des étoiles, la peinture, et que sais-je encore ? Tout cela parceque même si nous devrions travailler plus longtemps, nous aurions tout de même asser de temps pour vivre vraiment plus. J'aimerais pouvoir discuter avec mon ancêtre du 18ème siecle, et connaitre aussi ceux qui viennent apres nous. Nous rendre compte si les choix et les combats que nous avons mennés pour eux était les bons.
Je ne comprend pas cette négativité, cette envie de mourrir qui fait dires a certains tant de stupidités.Tans de négativité.
Scénarios de science fictions, imaginaires obscurs que certains viennent posé sur la réalité. Elle qui n'en à vraiment pas besoin. Je lis que nous sommes trop nombreux, cela n'est vrai qu'avec une vision consumeriste du monde. La terre peux très bien supporter 20 milliards de personnes simples, qui lisent des livres au lieux de changer de changer de téléphone portable tout les 2 ans, qui cultivent leurs légumes au lieux de blindé leurs caddies d'emballage plastiques pour obtenir 3 coockies, et ainsi de suite. Mais elle ne supportera pas 10 miliards de connards qui ne pensent qu'a consommer d'avantages.
Le temps gagné pourrais d'ailleurs être une solutions, imaginez que l'on vive par exemple 150 ans. Dans ce cas, le changement climatique sera véritablement votre problème, les septiques pourrais être au premières loges pour observer les dégats qu'ils n'ont jamais voulus accepté de voir. Le supporteraient-ils seulement ?
Enfin, la mort est inévitable, ce n'est pas vraiment triste, vous savez, ce qui est triste, c'est le grand nombre de vivants qui sont déjà morts en quelques sortes...
bonjour c'est très bien que les chercheurs travaille dans ce domaine moi je me pose certaine questions pourquoi les celules de notre corps veillisse alors quelle ce régènère continuellement, pourquoi les dents des crocodiles repoussent d'ai qu'il en perde une pourquoi pas chez les humains, il y a de nombreuse mécanisme a découvrir,exemple rechercher comment iliminé les calcules biliere sans retirer la vésicule, créer un appareil pour rééduquer la vésicule qui avec l'age fonctionne pas correctement créer un produit pour les dissoudre il y a de nombreuses recherche a faire.
CURIEUX que le sujet primordial ne soit abordé que dans un commentaire : si vous ingérez des produits toxiques devinez le résultat à court terme, à moyen terme à long terme ?
De plus si vous vivez dans un endroit ... auquel vous ajoutez un stress oxydatif, vous imaginez le résultat.
Bon on en est ou dans les retraites
notre corps réagis en fonction de notre environnement, cela dit le patrimoine génétique est un +. on peut interférer par la pensée sur notre défense moléculaire et composition atomique de nos cellules pour rester dans le bon codage . mais au final le temps met un terme a cela, et le corps change d'état et la mort le transforme en énergie vers un autre état de conscience. que somme nous par rapport au 15 milliard d'années de notre univers , et après le multivers?..pourquoi notre existence.. cap pour la connaissance et l'ascension .question pour un champion divin ..
j'ai 80 ans mais dans ma tête je suis jeune! Oh bien sur j'oublie des noms parfois, j'ai mal là ,et là, mais ce n'est pas grave je vis et j'essaye de ne pas me plaindre et d’embêter tout le monde alors je suis bien entourée et je rie beaucoup.Comme tout le monde j'ai eu des chagrins j-ai perdu ceux que j'aimais j'ai eu des maladies bref j'ai eu une vie normale. Quand la fin arrivera eh bien je partirai en me disant que j'ai eu une belle vie est peut-être cela le sérum de jeunesse
Il est aussi possible que, comme dans les temps anciens où bêtes fauves et envahisseurs-violeurs sévissaient, nous soyons tous quasiment forcés de redevenir des yogis !
Ceci dit, abolir l'âge est une question de bon sens, car notre vrai âge est celui qui nous sépare de notre mort, et non pas celui qui est défini par notre date de naissance. Comme l'affirmaient Epicure et certains philosophes stoïciens, l'essentiel est - sans prétendre forcément que "la mort n'est rien pour nous" - de ne pas s'en inquiéter outre mesure. Il y a une nouvelle de Buzatti qui évoque des lunettes magiques qui vous permettent de connaître votre état de décrépitude... et ces lunettes-là de prime abord valorisées (et achetées) à un millions de dollars sont ensuite... cassées puis jetées !
Prévenir les maladies et maintenir en bonne santé est connue en Inde avec la médecine ayurvédique et en Chine avec la médecine taoïste depuis des millénaires...
Si j'ai bien compris le but de ces "scientifiques", il s'agit de vivre beaucoup plus longtemps en bonne santé et en pleine forme.Louable projet.
On ne mourra donc plus de maladie, mais quid des accidents, des meurtres , des guerres.
Depuis toujours, l'homme a craint la mort. Qu'en sera t'il avec la crainte d'un évènement qui nous privera de la vie augmentée? A mon avis, la terreur de la perdre créera une société digne de l'enfer.
Enfin, comme il ne s'agit pas de créer des êtres immortels, au bout de la vie augmentée de 100, 200 ou même 1000ans, il faudra bien mourir et qui acceptera cela, s'il est en pleine forme, puisque c'est ce qu'on nous promet.
je ramasse les copies dans deux heures