Un Clive Owen mystérieux, des cocktails qui prédisent l’avenir, et un bar intriguant : la trame bien rodée du dernier film de Campari donne envie…
Présenter les cocktails comme des créations artistiques. Voilà l’ambition annoncée de Campari, avec son dispositif « Red Diaries ».
Entre autres initiatives, un court-métrage de Paolo Sarrentino, réalisé par J. Walter Thompson Milan. Intitulé Killer in Red, on y voit Clive Owen en proie à un drôle de barman, qui va le plonger dans un récit hors du temps et plein d’intrigues. Entre les paillettes et les cocktails déments, une histoire de femme, évidemment. Envoûtante et dangereuse, c’est au spectateur d’interpréter le drame auquel elle participe.
En parallèle du film, la marque met en scène les créations des meilleurs barmen du monde et les invite à partager tous les mois leur talent et leur vision de cet alcool au sein de 12 courts-métrages. Chaque histoire reflète la personnalité et la culture de la mixologie du barman.
Enfin, un calendrier signé du photographe argentin Ale Burset, qui a capturé ces 12 histoires sur papier glacé, au sein du Campari Red Diaries Calendar Book. Comme les années précédentes, seuls 9 999 exemplaires ont été édités pour en faire un objet de luxe.
Pour Bob Kunze-Concewitz, CEO de Gruppo Campari, la campagne de cette année reflète la philosophie de la marque : « innover sans jamais oublier son héritage ».
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