
AGM, une marque chinoise de smartphones. Dans un condensé d’humour noir de 2 x 1 minute 30, une veuve converse avec son feu mari par le biais d’un téléphone. En toile de fond de la campagne, un clin d’œil ironique à ces technologies qui s’emparent du « business du deuil ».
This Chinese phone ad is like something out of a black mirror episode ? #smartphones pic.twitter.com/Mu3GejcRBn
— Evan Kirstel (@evankirstel) 10 mars 2018
Dans ces cas de figure, la vie est éternelle mais le deuil impossible. Et le scénario, dramatique, semble inspirer de plus en plus d’initiatives technos, à commencer par l’application coréenne With Me. Conçue pour les familles endeuillées, la plateforme entend soulager la douleur des proches en faisant perdurer l'image du défunt via un avatar en réalité augmentée. Snapchat en somme, mais en plus mortifère.
Même combat pour Terasem, un projet de « cyber-conscience » qui souhaite nous faire accéder à l’immortalité en téléchargeant nos consciences dans d’autres corps. Son premier prototype, BINA48, est une androïde dont l’IA fonctionne grâce aux souvenirs, aux attitudes et aux croyances de ses compatriotes humains.
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