
Dans le fablab Makerbay de Hong Kong, César Jung-Harada dort paisiblement dans un cocon de plexiglas… monté sur roues. Avec l’aide d’une équipe de makers, l’ingénieur a créé la première voiture autonome dans laquelle il fait bon dormir… Ou pas.
« Le concept est de proposer une vision de ce que l’automobile pourrait être demain. Une pierre précieuse à l’extérieur et un lieu très confortable, convivial et modulable à l’intérieur. Une sorte de salon roulant et autonome », explique César Jung-Harada.
Pour la partie technique, les entrailles du véhicule reposent sur la structure modulaire OSVehicle (OSV), une plateforme open source qui permet aux constructeurs avertis de développer une voiture rudimentaire en moins d’une heure. Le tout augmenté par un tableau de bord, des interfaces logicielles Android et une carapace design.
Comment oublier si vite Elaine Herzberg, piétonne américaine tuée par un véhicule autonome Uber le 18 mars ? Comment oublier les accidents mortels pour au moins deux conducteurs et conductrices de Tesla autonomes, ou les multiples accidents légers mettant en cause des Google Cars ? La voiture autonome n’est pas un taxi pour personnes éméchées ou un jouet pour enfants à taille adulte. C’est un engin puissant qui implique une grande responsabilité.
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