
Dans un spot survolté, la marque met les vêtements à l’épreuve des enfants, et répond aux vraies préoccupations des parents… Interview de Muriel Fagnoni, Vice-Présidente de BETC.
Si l’alimentaire est dans le collimateur des consommateurs du monde entier, le textile pourrait bien en prendre pour son grade. Quelles sont les matières utilisées ? Sont-elles sans danger ? Risque-t-on des allergies ? Sont-elles issues de procédés responsables ? Quid de la qualité ? « La marque apporte un soin tout particulier à toutes ces vérifications. Lorsque l’on visite l’usine de Troyes, c’est bluffant : chaque vêtement est vérifié à la main ; la qualité du tricotage, de la teinture, ou des fils qui sont soumis à des tractions puissantes pour s’assurer qu’ils ne vont pas se déchirer… On ne peut pas avoir de doutes vis-à-vis de la qualité. Il fallait exprimer cela ».
Après la Mini Factory, la marque s’ancre donc dans la vraie vie et répond à une réalité : au sein des fratries, les vêtements s’enfilent du plus grand au plus petit. « Mais on doit pouvoir parler de qualité tout en gardant la personnalité de la marque : son énergie, son impertinence, sa créativité. Nous voulions illustrer une stratégie concrète avec un objet de communication ludique ».
Pari réussi. Côté réalisation, pas moins de 72 plans s’enchaînent parfaitement sur fond de Plastic Bertrand. « La marque opère une grosse phase de développement en Asie : nous voulions revendiquer sa French Touch avec un titre iconique ».
En plus du film, des « goodies » sont à retrouver sur les médias sociaux et le site de la marque. Coup de cœur pour les GIFs, qui font toujours leur petit effet…
D’autres activations sont à venir dans le courant de l’année. A suivre !
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