
Le rendez-vous est donné : le 3 juin prochain, au cœur de Paris, le Pavillon Gabriel accueillera la nouvelle édition de One to One B.Better. Cet événement unique promet de créer des ponts entre performance économique et impact positif.
Après une première édition remarquée, One to One B.Better revient pour créer un espace où décideurs et prestataires de solutions RSE peuvent se rencontrer et construire ensemble le futur de l'entreprise responsable. Une rencontre à taille humaine avec un objectif : fournir des clés concrètes pour conjuguer transformation durable et performance économique.
Un rendez-vous ancré dans le réel
À l'heure où la transition écologique devient un impératif stratégique pour toutes les entreprises, One to One B.Better veut aller à contre-courant des discours déconnectés. « Nos objectifs pour cette édition 2025, c'est d'appuyer davantage la dimension business et pragmatique. Il ne s'agit pas d'opposer performance et impact. L'un n'empêche pas l'autre, bien au contraire » , explique Sonia Manin, directrice de l'événement.
Pour cette édition placée sous le thème « Pragmatisme et ambition », l'événement accueillera environ 300 participants, un effectif volontairement limité pour préserver la qualité des interactions. La structure a été repensée pour offrir plus de clarté avec six piliers d'action bien identifiés : structurer et déployer sa stratégie RSE, mesurer et analyser, concevoir et optimiser, sensibiliser et engager les collaborateurs, emballer et livrer de façon responsable, et enfin, revendre et réutiliser dans une logique d'économie circulaire.
La RSE, de contrainte à levier stratégique
L'évolution de la place de la RSE dans l'entreprise sera au cœur des discussions. Selon Thomas Husson, analyste chez Forrester et membre du comité éditorial : « Il y a quelques années encore, la RSE était souvent perçue comme une obligation ou une case à cocher. Aujourd'hui, elle devient une question stratégique. Elle impacte les ressources, les coûts, les revenus, l'engagement des talents, l'attractivité client... »
Cette transformation se reflète dans les innovations qui émergent. « Ce que je trouve encore plus structurant, ce sont les innovations de modèle économique. Passer d'un modèle basé sur la possession à la location, à la circularité, repenser le design produit, l'éco-conception, c'est là que se situent les vrais leviers » , analyse Thomas Husson.
Des retours d'expérience concrets
Dans cette optique, la programmation mettra à l'honneur des retours d'expérience, portés par des dirigeants venus d'horizons très différents. Parmi les temps forts attendus, Frédéric Mazzella animera un dialogue entre Grégory Sion, directeur général de Pierre et Vacances, et Julien Sylvain, fondateur de Tediber. « Deux univers complètement différents, mais qui arrivent en même temps avec pragmatisme sur une dimension RSE au sens large, tout en faisant du business, » précise Sonia Manin.
Autre point fort de la journée : une intervention attendue d'Hélène Valade, Présidente de l'ORSE, autour d'une étude inédite sur les premiers retours d'expérience liés à la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive). L'occasion de faire le point sur les transformations concrètes mises en œuvre par les entreprises : évolution des organisations internes, ajustements des business models, nouvelles méthodologies de pilotage… « L'idée est de comprendre comment ces nouvelles obligations ont été perçues et intégrées, et ce qu'on peut en tirer pour la suite » , précise Sonia Manin.
Pour les entreprises de toutes tailles, des grands groupes aux PME, One to One B.Better s'impose comme une occasion de transformer les contraintes en opportunités et de se connecter avec les acteurs qui font avancer la RSE au quotidien.
Retrouvez toutes les informations et les modalités d’inscription sur One to One B.Better.
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