
L'assassin ne portait pas de gants
S'il est des publicités qui tiennent en haleine, celle-ci pourrait mériter sa palme ... et plus brillante sera la chute !
Tout commence comme un film de série noire. Dans une ruelle sombre, deux gentlemans en viennent aux mains. Règlement de comptes ? Gestes passionnels ? Rien ne permet de le définir… pourtant un meurtre est commis et le corps doit être dissimulé…
Dirty Hands est signé Joshua W Wagner (WLP & Wagner Films), produit par Liz Wagner sur une musique Rob Dougan Clubbed to Death.. Le film très esthétique emprunte les codes de l’univers du luxe. Tout y est parfait : du costume trois pièces à la voiture de collection, en passant par la coupe de cheveux impeccable. Seul détail à cette histoire sur papier glacé parfaitement hygiénique: quelques gouttes d’hémoglobine…
Contre les germes quelques gouttes de Purell, gel hydro-alcoolique antibacteriens.