Pour attirer, travailler et pérenniser un partenariat, payant ou non, avec un influenceur, des agences se sont positionnées sur ce segment de marché. Quatre grandes tendances émergent.
Agence de marketing d’influence
À l’image de l’agence Revolvr, (retrouvez l’interview de la co-fondatrice Emmanuelle Pelloux au sujet des micro-influenceurs), les agences de marketing d’influence misent sur la proximité avec les influenceurs avec lesquels ils entretiennent une relation privilégiée. « Nous, on scanne les profils à la main. C’est une veille permanente. On recoupe le reach avec les intérêts de chacun. On regarde l’engagement sur telle ou telle thématique, et, bien sûr, si la personne est légitime. » L’agence décline ensuite l’univers des Instagrameurs à 360° (community management, événement, co-création…).
Les agences d’influenceurs
Comment les agents de comédiens ou de photographes, les agents d’influenceurs repèrent les influents et les aident à faire avancer leurs carrières. Ils gèrent les briefs et la facturation, entre autres. Clients ou agence peuvent s’orienter vers eux pour trouver le bon ambassadeur de marque comme Brand & Celibrities, Yoô ou l’Agence des médias sociaux.
Agence de « e-RP »
Contrairement à ce que leur nom pourrait faire croire, les agences de « e-RP » n’ont rien à voir avec des agence de RP digitales, selon Anne-Marie Gibert, Directrice des Relations Presse de DDB. Autrement dit, comme dans une agence RP classique, il ne s’agit pas non plus seulement d’envoyer des communiqués de presse par mail, mais de choisir la meilleure manière de contacter les influenceurs, souvent en face-à-face, et de travailler avec eux tout au long de l’année, et pas seulement occasionnellement. Un moyen de créer de l’implication à chaque opération et de créer un lien de confiance.
Les agences de publicité traditionnelles
En marge des nouvelles agence d’influence, les agences de publicité traditionnelles ont flairé le bon filon avec des budgets qui, selon Reech, devrait atteindre 21%, versus 9% en 2014 et 13% en 2015. C’est le cas d’ETO Influence chez Publicis, par exemple, même si, selon Emmanuelle Pelloux, le cas reste assez rare chez Fred & Farid ou BETC.
Enfaite quand vous ne savez pas quoi racontez sur votre site vous parlez des influenceurs, je commence à croire qu’il ya une plateforme de micro influenceurs derrière tout ça hahahahah
Et si la tendance de gérer cette activité en interne ( au sein des équipes digitales, ecom et mktg) , n'était-elle pas la plus importante ...?
les agents d’influenceurs repèrent les influents et les aideNT à faire avancer leurs carrières
[…] Vu ailleurs sur le web : Quel type d’agence d’influenceurs choisir ? […]